La majorité des éléments de la FIGN qui ont affronté les militaires de la Haute Autorité de la Transition sont maintenant neutralisés. Certains se sont rendus en début de semaine.
Des hommes politiques sont également menacés d’arrestation aujourd’hui. Pour le moment, un pasteur et une vingtaine de militaire sont en prison, à la suite de la fusillade du 20 mai. Les dirigeants de la HAT ont tout de suite désigné l’ex-président, Marc Ravalomanana comme étant à l’origine de la mutinerie de la FIGN mais le chef d’Etat déchu a nié son implication dans l’affaire.