Une vingtaine de militaires sont actuellement emprisonnés à la suite de l’affaire FIGN. Les gendarmes concernés ont été en partie déjà entendus par le juge d’instruction.
Dorénavant, ce sont des civils présents sur les lieux lors de cet événement qui sont convoqués. Certains meneurs du mouvement des leaders ecclésiastiques qui ont réuni la foule, le 20 mai, dans les environs du camp de la FIGN ont décidé de rester dans la discrétion. Un des leurs croupit déjà en prison depuis quelques semaines.