mardi , 7 mai 2024
enfrit
Alors que la population attendait l'inverse, les nouveaux gérants de la société nationale d'eau et d'électricité, JIRAMA, ont annoncé une prochaine augmentation des tarifs.

Augmentation en vue du coût de l’eau et de l’électricité

 


C’est pas ce que les usagers attendaient. Mais, on l’a toujours spécifié, les gérants de la JIRAMA ne pourront pas faire autrement. Les Nouvelles titre que « La Jirama va augmenter ses tarifs de 12% ». Le journal écrit : »on sait, en effet, qu’une grande partie de l’énergie électrique est d’originae thermique et que les centrales sont grosses consommateurs de gasoil ». Ainsi, selon toujours Les Nouvelles « A cause du prix des carburants, les tarifs de la Jirama vont augmenter de 12% cette année ». Il est spécifié également que « la situation générale de la Jirama n’est pas bonne », et que « la situation financière est très précaire ».


Lutte contre l’insécurité


Midi attire l’attention du public sur le conseil des ministres qui s’est penché notamment sur l’insécurité, en annonçant que « L’Etat passe à l’offensive ». Midi écrit « Le président de la République a interpellé notamment les responsables de la Sécurité publique, pour qu’ils puissent entreprendre des efforts conséquents face à l’émergence de l’insécurité. Ainsi, l’Etat va adopter une nouvelle stratégie en matière de sécurité publique ».


Une population réticente


Toujours au sujet de cette insécurité La Gazette spécifie que « des assises sur la sécurité vont être organisées incessamment ». Le journal indique: « la persistance de l’insécurit est due à un mauvais fonctionnement du système judiciaire. Les populations rurales ont peu de confiance dans le système judiciaire. Ceci est illustré par les résultats sur la perception de la conséquence de la capture d’un voleur de zébus. Au niveau national, 27% des Communes enquêtées pensent qu’il est improbable qu’une fois attrapé, un voleur de zébus serait envoyé en prison et y resterait ».


Menaces de mort


Dans la même foulée, selon Malaza « Plusieurs éléments de la police font depuis un certain temps l’objet de véritable menaces de mort ». Le journal estime toutefois que « vu les risques que comporte leur métier, de tels faits ne sont pas très nouveaux pour les forces de l’ordre ».