dimanche , 5 mai 2024
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Le journaliste photographe, Nary Ravonjy, a réuni autour de lui une dizaine de confrères ainsi que des artistes et des athlètes pour promouvoir le "grand pardon" afin de sortir la Grande Ile de la crise politique. Mais le constat est amer. Pour eux, il va falloir commencer par réconcilier tous les hommes et toutes les entités qui ont pris l'initiative d'une médiation dans la crise malgache. Depuis deux ans, Nary Ravonjy parle de "réconciliation des réconcilateurs". Les diverses entités qui s'occupent de la médiation sur la crise malgache sont en effet eux-mêmes divisés et ont du mal à accorder leur violon. Il a parlé notamment, du FFKM, la fédération des églises chrétiennes, de l'association Finoana, des groupements de la société civile CNOSC et AOSC, ou encore du Comité des citoyens pour la conciliation de Raymond Ranjeva. Des entités qui font toutes cavalier seul, alors que la médiation piétine.

Crise politique: Des artistes, des journalistes et des athlètes préconisent le « grand pardon »

Le journaliste photographe, Nary Ravonjy, a réuni autour de lui une dizaine de confrères ainsi que des artistes et des athlètes pour promouvoir le « grand pardon » afin de sortir la Grande Ile de la crise politique. Mais le constat est amer. Pour eux, il va falloir commencer par réconcilier tous les hommes et toutes les entités qui ont pris l’initiative d’une médiation dans la crise malgache. Depuis deux ans, Nary Ravonjy parle de « réconciliation des réconcilateurs ». Les diverses entités qui s’occupent de la médiation sur la crise malgache sont en effet eux-mêmes divisés et ont du mal à accorder leur violon. Il a parlé notamment, du FFKM, la fédération des églises chrétiennes, de l’association Finoana, des groupements de la société civile CNOSC et AOSC, ou encore du Comité des citoyens pour la conciliation de Raymond Ranjeva. Des entités qui font toutes cavalier seul, alors que la médiation piétine.