Le conclave entre les bailleurs de fonds et la Commission nationale électorale était le meilleur moyen de décider le repot des élections. D’autant que le fonds disponible ne suffit pas pour le moment pour boucler le processus électoral. Les Américains, par exemple, ont toujours refusé de financer ce processus qui ne fait pas encore l’unanimité au sein de la classe politique et au niveau de l’ensemble de la Communauté internationale. En outre, la proposition du président de la Transition, Andry Rajoelina, d’organiser les législatives avant la présidentielle a été rejetée par l’ensemble des participants au conclave sur les élections.