jeudi , 2 mai 2024
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Le régime de Transition et l’association des victimes prévoient une cérémonie de commémoration de l’affaire du 7 février à Antaninarenina. Une plainte a été déposée contre l’ancien président, Marc Ravalomanana à Madagascar et en Afrique du Sud, mais la réouverture d’une enquête censée être indépendante sur le sujet tarde à se concrétiser. C’est Marc Ravalomanana et la garde présidentielle de l’époque qui a été toujours montrée du doigt par ceux qui ont pris le pouvoir en 2009 comme étant à l’origine de la trentaine de morts devant le palais d’Ambohitsorohitra. C’était le 7 février 2009. L’ancien président a été condamné à Madagascar. Mais il parle de procès politique. Sur la base de nombreux témoignages, le camp de Ravalomanana dénonce la manipulation du président de la Transition, Andry Rajoelina. Le colonel Charles Andrianasoavina a déjà révélé l’existence d’autres tireurs pour faire le maximum de victimes, tandis que le général Raoelina de la garde présidentielle a également spécifié que des tirs en direction du palais ont été authentifiés. Et le débat est loin d’être clos, quatre ans après les faits.

Polémique relancée autour de l’affaire du 7 février

Le régime de Transition et l’association des victimes prévoient une cérémonie de commémoration de l’affaire du 7 février à Antaninarenina. Une plainte a été déposée contre l’ancien président, Marc Ravalomanana à Madagascar et en Afrique du Sud, mais la réouverture d’une enquête censée être indépendante sur le sujet tarde à se concrétiser. C’est Marc Ravalomanana et la garde présidentielle de l’époque qui a été toujours montrée du doigt par ceux qui ont pris le pouvoir en 2009 comme étant à l’origine de la trentaine de morts devant le palais d’Ambohitsorohitra. C’était le 7 février 2009. L’ancien président a été condamné à Madagascar. Mais il parle de procès politique. Sur la base de nombreux témoignages, le camp de Ravalomanana dénonce la manipulation du président de la Transition, Andry Rajoelina. Le colonel Charles Andrianasoavina a déjà révélé l’existence d’autres tireurs pour faire le maximum de victimes, tandis que le général Raoelina de la garde présidentielle a également spécifié que des tirs en direction du palais ont été authentifiés. Et le débat est loin d’être clos, quatre ans après les faits.