Des associations de « nationalistes » conduits par le parti Otrikafo viennent toutefois d’affirmer qu’un comité de soutien pour le NON est en cours de mise en place.
Le président de Otrikafo, Andrianjaka Rajaonah, a affirmé que le projet de constitution ne reflète en rien le « changement » prôné par les nouveaux dirigeants car il ressemble à 90% aux précédentes constitutions de la Grande Ile. Les groupements nationalistes craignent en outre la possibilité de vente de terrain aux étrangers lors de la nouvelle République.
Aucune formation politique d’envergure nationale ne se positionne pour l’instant pour le NON au référendum, l’opposition ayant opté pour la non-participation au vote.