After being dealt with by the HAT’s police forces with tear gas, Mamy Rakotoarivelo is now the Rajoelina regime’s next political target. The President of the transitional congress is being summoned by the ordinary criminal court, as a matter of fact a flagrant violation of the roadmap. The victim denounced the resumption of the unilateralism policy and announced that the Ravalomanana political sphere is to keep away from whatever parliamentary and governmental meetings. Lire la suite »

Après avoir été visé par les bombes lacrymogènes des forces de l’ordre de la HAT, Mamy Rakotoarivelo est de nouveau la cible du régime Rajoelina. Le président du Congrès de la transition est convoqué par la Cour criminelle ordinaire, ce qui est une violation sans détour de la feuille de route. Il dénonce le retour de l’unilatéralisme et annonce que la mouvance Ravalomanana va suspendre jusqu’à nouvel ordre toute participation à des réunions parlementaires ou gouvernementales. Lire la suite »

As a result to April 28th’s latest clashes between former president Marc Ravalomanana’s supporters and police forces supportive of the High Authority of Transition, the former president finally realized how impossible coexistence into this current political transition actually is. In the run of a phone line call addressed to his supporters gathered inside the Magro square, the former president “summoned” his collaborators to suspend the political sphere’s involvement into the transitional institutions. Back to mutual corners, we are now in for the challenge. Andry Rajoelina’s TGV party is just as so eager to remove the rival sphere’s Mamy Rakotoarivelo from the transitional congress’s presidency. So be it, the crisis settlement roadmap is definitely dead. Only an elusive political miracle would bring any more change to this matter of fact Lire la suite »

Après les affrontements entre les partisans de l'ancien président, Marc Ravalomanana, avec les forces de sécurité de la Haute Autorité de transition, le 28 avril, l'ancien président reconnaît l'impossibilité de la cohabitation au sein de la transition politique actuelle. Intervenu au téléphone au meeting du Magro, l'ancien président a "donné l'ordre" à ses collaborateurs de suspendre la participation de sa mouvance au sein des institutions de la transition. Le bras de fer est engagé. Le parti TGV du chef de la transition, Andry Rajoelina, pour sa part, s'apprête à évincer Mamy Rakotoarivelo, issu de la mouvance Ravalomanana, de la présidence du Congrès. La feuille de route de sortie de crise n'a plus sa raison d'être. A moins d'un miracle politique. Lire la suite »