Toutefois, les textes signés sont loin de pouvoir sortir réellement le pays de l’ornière. Les trois anciens présidents, signataires des accords de Maputo, n’ont pas encore donné le feu vert à sa mise en oeuvre. Cela dit, les pricipales parties en conflit dans la crise politique ne sont pas concernées par l’accord signé.
Les consultations se poursuivent malgré tout à différents niveaux. Au cours de son trentième sommet, à Windhoek, la communauté de développement de l’Afrique Australe (SADC) parle de la nécessité d’élargir le consensus, sans toutefois spécifier les autres parties signataires des accords de Maputo. Diplomatie oblige.