L’attaque des dahalo, qui continuent de terroriser les villages et de voler les bœufs, est en effet de plus en plus fréquente. La contre-attaque des militaires est aussi quelquefois très violente. Et assumer, dans ce contexte, les responsabilités qui leur incombent semblait du domaine de l’impossible pour les chefs de quartier. Leur lettre de démission a été adressée au chef de district. Le ministère de l’Intérieur a été mis au courant.