L’opposition a très vite fait un rapprochement entre l’initiative de manifestation de rue et la convocation de la Brigade d’Ankadilalana. Des opposants se disent par ailleurs menacés de nouveau depuis quelques temps.
Le mouvement des opposants débutera par un déplacement à l’ambassade des Etats-Unis. Un dossier pour soutenir la cause de l’opposition devrait y être déposé.
Le préfet de police de la capitale a affirmé qu’il n’a pas reçu de demande d’autorisation pour des manifestations dans la capitale. L’ancien président Albert Zafy, lui, a soutenu que l’opposition n’a plus besoin d’une autorisation pour pareille manifestation, dans un contexte marqué par le « non-droit » et le « non-respect » des accords signés.