lundi , 29 avril 2024
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Le chef de la Transition, Andry Rajoelina, avait proposé la tenue des élections législatives avant la présidentielle déjà prévue en mai prochain à Madagascar. Il a annoncé son intention de modifier le calendrier électoral, quand il a rendu public, lors d'une déclaration, sa décision de se retirer de la course à la présidentielle. La Communauté internationale est toutefois contre la proposition. Une déclaration de la SADC a réitéré le maintien du calendrier électoral déjà établi. A savoir le premier tour de la présidentielle, le 8 mai et le deuxième tour, jumelé avec les législatives en juillet. La même déclaration a préconisé également une mesure d'amnistie pour Marc Ravalomanana et pour Andry Rajoelina, les deux protagonistes de la crise malgache, qui ont accepté de se retirer de la course à la magistrature suprême.

La Communauté internationale exige le maintien du calendrier électoral

Le chef de la Transition, Andry Rajoelina, avait proposé la tenue des élections législatives avant la présidentielle déjà prévue en mai prochain à Madagascar. Il a annoncé son intention de modifier le calendrier électoral, quand il a rendu public, lors d’une déclaration, sa décision de se retirer de la course à la présidentielle. La Communauté internationale est toutefois contre la proposition. Une déclaration de la SADC a réitéré le maintien du calendrier électoral déjà établi. A savoir le premier tour de la présidentielle, le 8 mai et le deuxième tour, jumelé avec les législatives en juillet. La même déclaration a préconisé également une mesure d’amnistie pour Marc Ravalomanana et pour Andry Rajoelina, les deux protagonistes de la crise malgache, qui ont accepté de se retirer de la course à la magistrature suprême.