Avant cette consultation électorale, une conférence nationale devra avoir lieu en fin août, conformément à une prévision de la société civile malgache.
Des membres de l’opposition, qui n’ont pas reçu l’aval de leur parti respectif, participent également aux pourparlers. Ils sont déjà classés dans les rangs des « traîtres » par leur collaborateur. Ils sont toutefois convaincus que la participation au dialogue pourrait contribuer à faciliter la recherche de solutions à la crise malgache.