dimanche , 27 avril 2025
enfrit
La production langoustière a connu une légère baisse mais son prix continue, sur le marché international, à connaître une hausse, à la grande satisfaction des exportateurs.

La langouste de Madagascar bien cotée

 


Midi évoque la situation actuelle de la filière langouste dans la Grande Ile :  » La production de langouste capturée au niveau des pêcheurs a connu une baisse par rapport à l’année dernière « . L’auteur de l’article continue que  » les mauvaises conditions climatiques ainsi que la limite de la taille minimale de langouste exploitable à 18 cm, sont les principales raisons évoquées par les pêcheurs « . Midi spécifie ensuite :  » Sur le marché mondial, le cours de la langouste de Madagascar s’est amélioré mais varie suivant le calibrage du produit et le type de présentation et de conditionnement. Il est actuellement fixé entre 10 à 14 USD le kilo, prix CAF, au Japon, selon les explications de Patrick Rakotoarison. Sur le marché européen, une queue de langouste peut coûter de 15 à 25 euros, a-t-il rajouté, tout en gagnant 1 à 2 euros de plus, si encore, l’on vise le marché des restaurateurs par rapport aux demi-grossistes. La tendance du marché s’oriente désormais vers les langoustes crues, si auparavant les consommateurs mondiaux ont cherché des produits pré-cuits. Madagascar n’est pas en reste pour satisfaire ses clients internationaux, en commençant déjà dès cette année à livrer 30% de ses exportations en langoustes crues « 
Observation de la corruption
La structure des entités travaillant dans le domaine de la lutte contre la corruption, devenue un cheval de bataille du gouvernement, se renforce par la mise en place d’un nouveau système d’observation de la corruption au niveau de chaque région de Madagascar dans les prochains mois. Selon Les Nouvelles : « Afin d’analyser et de renforcer l’efficacité des stratégies de lutte contre la corruption et de pallier l’insuffisance de connaissances sur les sources d’informations, le Conseil supérieur de lutte contre la corruption (CSLCC) va mettre en place un système d’observation dans chaque région. Outre la collecte systématique et permanente des sources d’informations, ce système d’observation aura pour tâche de mettre en réseau les acteurs concernés par la lutte et favoriser l’implication de la société civile. Mais il ne s’occupera point de poursuite ni de jugement. Ce système sera lui-même relié avec le système d’observation international « 
Energie renouvelable
La Gazette
parle de  » mensonges d’Etat  » à propos de l’augmentation du prix du riz et de la poursuite des délestages programmés par la société nationale d’eau et d’électricité Jirama. Et L’Express estime que les coupures fréquentes d’électricité occasionnées, justement, par le délestage ont incité la population à se tourner vers les énergies renouvelables, notamment les panneaux solaires. Le journal indique :  » Les toits sont couverts de chauffe-eau solaires. Révolution des m½urs. L’utilisation des panneaux solaires ne relève plus à l’heure actuelle du simple souci d’économie ou de considérations environnementales. Elle est devenue une nécessité et constitue une alternative aux défaillances de la Jirama. Ce qui fait que cette source d’énergie révolutionnaire mais à coût élevé, réservée jusque-là au monde rural, est aujourd’hui très répandue dans les villes « .