Auparavant, Charles Andrianasoavina a été l’un des principaux collaborateurs de la HAT et l’un des principaux artisans de la chute de Marc Ravalomanana en soutenant la mutinerie de la CAPSAT en mars 2009. Son aveu sur le coup d’Etat et sur la tuerie du 7 février 2009 a beaucoup gêné la HAT.
En prison, le colonel Charles a écrit des lettres attestant l’existence d’autres tireurs situés en dehors du palais présidentiel, le 7 février 2009.
Selon quelques membres de sa famille, il a été opéré suite à une maladie « mystérieuse ». De nombreuses petites cavités auraient apparu à son estomac et par endroit sur son intestin.