vendredi , 29 mars 2024
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Outre les contestations sous diverses formes dans les rues, les partis politiques commencent à se positionner contre le référendum constitutionnel du 17 novembre.

Le référendum du 17 novembre de plus en plus constesté

Les trois entités politiques de l’opposition, signataires des accords de Maputo et d’Addis-Abeba avec Andry Rajoelina en 2009, ne sont plus actuellement les seules à exiger l’annulation du référendum.

Le parti MDM de Pierrot Rajaonarivelo vient d’annoncer que l’organisation d’un référendum n’est pas souhaitable pour le moment. Les dirigeants du MDM estiment que le contexte politique n’est pas encore favorable à une consultation populaire.

Les collaborateurs du chef de la Transition ont toutefois mal accueilli la déclaration du MDM. Ils soutiennent que le parti de Rajaonarivelo est opportuniste. Car quand les décisions de la Transition lui sont favorables il feint d’adhérer au processus. Pierrot Rajaonarivelo n’est qu’un « ami caméléon » pour les proches de Rajoelina.