Quelques temps après l’annonce d’un possible accord, les extrémistes du camp Rajoelina dénoncent l’initiative. Sur les médias proches de la Haute Autorité de la Transition, les plus radicaux excluent l’éventualité d’une réconciliation avec l’ancien président, Marc Ravalomanana. Ce dernier a annoncé à plusieurs reprises son souhait de retourner à Madagascar, mais pour certains partisans du chef de la Transition, Andry Rajoelina, si Ravalomanana revient au pays c’est pour aller en prison.
Une autre mission de médiation de la SADC est attendue le 11 janvier. Certaines formations politiques sont restées optimistes et souhaitent la mise en place d’une nouvelle Transition « neutre ».