Le retard dans l’organisation de la rencontre suscite déjà l’inquiétude dans le camp des collaborateurs de Rajoelina. Les médias proches du président de la Haute Autorité de la Transition ont commencé à tirer à boulets rouges sur les « Ray aman-dreny mijoro » depuis la décision du premier report.
De même, l’ordre du jour proposé semble également susciter la réticence, car il remet en cause la feuille de route avancée par Andry Rajoelina.
Les collaborateurs de Rajoelina ne souhaitent plus qu’on revoie la gestion actuelle de la Transition, alors que les organisateurs du dialogue national ont prévu de se pencher sur la question.