Pour le moment, Antananarivo, Mahajanga, Toamasina, Antsiranana, Toliara, Fianarantsoa et Antsirabe sont concernées. Tout dépendra aussi de la réaction des autorités locales. Il est clair qu’aucune autorisation en bonne et due frme ne sera livrée à cet effet aux membres de l’opposition.
Dans le même temps, dans la capitale, les Trois mouvances exigent la libération d’un certain Manoela, jeune animateur du meeting habituel de l’opposition, arrêté le 15 juin dernier dans un bus, après le meeting de l’opposition à Behoririka.