Marc Ravalomanana souhaite en outre un apaisement politique avant la tenue de la conférence nationale. Cela présuppose une amnistie et l’arrêt des persécutions à l’endroit des membres de l’opposition.
L’ancien président a publié un communiqué en fin de semaine pour clarifier sa position. Les organisateurs de la rencontre ont récemment affirmé que les négociations sont toujours en cours afin de convaincre l’opposition à participer au dialogue national.
Les représentants de l’opposition, réunis au sein des trois mouvances politiques signataires des accords de Maputo et d’Addis-Abeba, ont déjà annoncé leur refus de participer au dialogue national, mais les pourparlers continuent en coulisse.