Les autorités sud-africaines n’y sont pas allées par quatre chemins. Elles ont soigneusement écarté les présidents issus des trois pays africains qui ont récemment connu un coup d’Etat. Carton rouge pour les chefs d’Etat de Madagascar, du Niger et de la Guinnée.
Andry Rajoelina devra se contenter du petit écran pour suivre la cérémonie officielle d’ouverture du premier Mondial organisé sur le continent africain. Une vingtaine de ses pairs auront le privilège d’être présent à Soccer City, à Johannesburg. Marc Ravalomanana, le président déchu de la Grande Ile en fait partie.