Remède contre le VIH/SIDA : Nicol Ramarovahiny répond aux critiques

John Nicol Ramarovahiny Giuliano, le père du remède contre le VIH/SIDA appelé J MAR ou A72 (nom scientifique) a répliqué aux critiques produites dernièrement par le docteur Catherine Gaud, chef du département d’Immunologie Clinique de l’hôpital Site-Nord-Bellepierre de la Réunion. Il a tenu une conférence de presse Vendredi à Ankadivato pendant laquelle il a expliqué les tenants des recherches sur ce remède révolutionnaire contre le VIH/SIDA décrit comme un produit de phytothérapie.

Nicol Ramarovahiny a expliqué que ce remède n’était pas totalement médical mais plutôt basé sur les théories d’herboristes. Et selon les résultats des tests déjà effectués sur le JMAR, aucune évidence de toxicité ni aucun danger pour les patients n’ont été détectés. Il a au contraire été prouvé que le remède a réussi à éliminer jusqu’à un taux de 91% le virus chez les patients.

Le JMAR a subi au CISR Laboratory en Afrique du Sud des tests complexes, rigoureux et complets, dont les résultats ont prouvé que le remède ne dépasse pas -0,4 en termes de taux de toxicité, bien loin du seuil d’intoxication. Cependant, Catherine Gaud a souligné l’absence de test toxicologique formel et dénoncé le remède comme dangereux pour la santé du patient, des critiques apparemment non fondées selon les informations de Nicol Ramarovahiny