230 camions appartenant à la brasserie STAR Madagascar font plus de 11 millions de kilomètres par an à travers toute l’Ile. Et selon le chef adjoint de la direction de la société, Francis Batista, de la brasserie STAR Madagascar, la vie humaine n’a pas de prix. Pour cette raison, la société considère la sécurité routière comme une priorité absolue, et ... Lire la suite »

What an unconventional world day of press freedom on May, 3rd ! A couple of FREE FM radio station’s reporters were held in custody at the state police station of Betongolo, then released in the afternoon of May, 3rd. Harry Rahajason, the ruling power’s communication minister, alias Rolly Mercia, had rather leave the capital city and attend an official event in the island’s southern city of Toliara. As a consequence to the FREE FM related case, the union of reporters actually leads the offensive in Antananarivo. Lire la suite »

La célébration de la journée de la liberté de la presse du 3 mai a été plutôt particulière cette année. Deux journalistes de la radio Free FM ont passé la nuit, en garde à vue, à la gendarmerie de Betongolo, puis libérés en fin de l'après-midi du 3 mai. Le ministre de la communication, Harry Rahajason, alias Rolly Mercia a préféré quitter la capitale pour tenir une manifestation officielle à Toliara, au sud de Madagascar. A Antananarivo, à la suite de l'affaire Free FM, le syndicat des journalistes se rebiffe. Lire la suite »

Some reporters who met with some policemen are already talking about custody. Since the middle of May 2nd’s afternoon, Fidele and Lalatiana, both reporters for the Free FM radio station, are being investigated at police station Betongolo, in response to a complaint lodged by a contractor very closely connected to the presidency of the transition. Lire la suite »

Certains journalistes qui ont eu des entretiens avec quelques gendarmes parlent déjà de garde à vue. Depuis le milieu de l'après-midi du 2 mai, Lalatiana et Fidèle, les deux journalistes de la radio Free FM, sont enquêtés par les gendarmes de la brigade de Betongolo. Il s'agit d'une enquête qui fait suite à la plainte déposée par un entrepreneur très proche de la présidence de la transition. Lire la suite »

After being dealt with by the HAT’s police forces with tear gas, Mamy Rakotoarivelo is now the Rajoelina regime’s next political target. The President of the transitional congress is being summoned by the ordinary criminal court, as a matter of fact a flagrant violation of the roadmap. The victim denounced the resumption of the unilateralism policy and announced that the Ravalomanana political sphere is to keep away from whatever parliamentary and governmental meetings. Lire la suite »

Après avoir été visé par les bombes lacrymogènes des forces de l’ordre de la HAT, Mamy Rakotoarivelo est de nouveau la cible du régime Rajoelina. Le président du Congrès de la transition est convoqué par la Cour criminelle ordinaire, ce qui est une violation sans détour de la feuille de route. Il dénonce le retour de l’unilatéralisme et annonce que la mouvance Ravalomanana va suspendre jusqu’à nouvel ordre toute participation à des réunions parlementaires ou gouvernementales. Lire la suite »

As a result to April 28th’s latest clashes between former president Marc Ravalomanana’s supporters and police forces supportive of the High Authority of Transition, the former president finally realized how impossible coexistence into this current political transition actually is. In the run of a phone line call addressed to his supporters gathered inside the Magro square, the former president “summoned” his collaborators to suspend the political sphere’s involvement into the transitional institutions. Back to mutual corners, we are now in for the challenge. Andry Rajoelina’s TGV party is just as so eager to remove the rival sphere’s Mamy Rakotoarivelo from the transitional congress’s presidency. So be it, the crisis settlement roadmap is definitely dead. Only an elusive political miracle would bring any more change to this matter of fact Lire la suite »

Après les affrontements entre les partisans de l'ancien président, Marc Ravalomanana, avec les forces de sécurité de la Haute Autorité de transition, le 28 avril, l'ancien président reconnaît l'impossibilité de la cohabitation au sein de la transition politique actuelle. Intervenu au téléphone au meeting du Magro, l'ancien président a "donné l'ordre" à ses collaborateurs de suspendre la participation de sa mouvance au sein des institutions de la transition. Le bras de fer est engagé. Le parti TGV du chef de la transition, Andry Rajoelina, pour sa part, s'apprête à évincer Mamy Rakotoarivelo, issu de la mouvance Ravalomanana, de la présidence du Congrès. La feuille de route de sortie de crise n'a plus sa raison d'être. A moins d'un miracle politique. Lire la suite »