When State matters are turned into games, do we still have to be surprised by spotting a remake of the blockbuster Gangs of New York in the local National Assembly? The parliament's facilities are close to become battlegrounds disputed by two opposing parliamentarian groups. In the right corner, the PMP supportive of President Hery Rajaonarimampianina stands tall to the MAPAR in the opposite corner, supportive of Andry Rajoelina. The parliament's new internal rules are the formal bone of contention. The major stake in target is however the process of bringing the parliament's Permanent Office led by the Lower Chamber's Chairwoman down. Christine Razanamahasoa fastens her seat belt and clings to her position. Lire la suite »
Archives par mois : avril 2014
Assemblée nationale : le dérèglement intérieur !
Quand les affaires de l’Etat deviennent un jeu d’enfant, faut-il encore s’étonner de voir une adaptation de La guerre des boutons à l’Assemblée nationale ! Les batailles font rage et les débats sont houleux entre les deux camps, la PMP favorable au président Hery Rajaonarimampianina et le MAPAR avec le « président » Andry Rajoelina. Sur fond d’adoption d’un nouveau règlement intérieur, l’enjeu est la destitution ou non du bureau permanent dirigé par la présidente de la Chambre basse, Christine Razanamahasoa qui s’accroche à son perchoir. Lire la suite »
A clash in the South makes forty casualties and some thousands of displaced persons
The Dahalo resume marauding through the southern regions of Madagascar. In the immediate vicinity of Ihosy, the local population supported by state policemen clashed with rogue dahalo raiders. 40 people were brought down as a result, a majority of them used to swear allegiance to the foe. This dahalo gang was conducting a campaign of its own for a while, and had so far been capturing hundreds of zebus from several villages of the Ihorombe region, largely unopposed. Scores of Madagascar' southern villagers usually have to bear repeated onslaughts from hundreds of dahalo raiders, at a time. They are greedy for cattle first and foremost, but do not often waste the opportunity to take away what they want when they can. Raids of this kind have significantly lessened in number over the latest months. Its over now. Time for plunder seems to have come again. In the Amboasary district, people were spotted fleeing the dreaded Dahalo by thousands. Cattle theft as a whole has never been decisively dealt with over the Great Isle. The year 2009's putsch and its entailed economic downturn nearly brought the affected areas to the brink of an armed insurrection. Over the latest years, raiding parties are often composed with hundreds of men armed with AK-47 type assault rifles, massively overrunning villages. The dahalo scourge mostly befalls Madagascar' southern lands because of its large dedication to breeding cattle. Roaming flocks are besides lightly defended, therefore easy game for raiders. The resumption of such violence is likely to make matters more complicated than they already are to the new ruling power. The Republic's President Hery Rajaonarimampianina, who came in charge in January, and his Prime Minister Kolo Roger, who has freshly created his government, might have not expected to have to deal with such a problematic issue as so early. Lire la suite »
Un affrontement fait une quarantaine de morts et des milliers de déplacés au Sud
La violence des dahalo reprend dans la partie Sud de Madagascar. Un affrontement entre des voleurs de zébus, d’un côté, et la population aidée par des gendarmes, de l’autre côté, a fait une quarantaine de morts, dont la plupart sont des présumés dahalo, aux environs de la localité d’Ihosy. Les dahalo venaient de voler des centaines de zébus dans différents villages de la région Ihorombe. Dans de nombreuses localités du sud de Madagascar, des centaines de dahalo s’en prennent souvent aux villages pour voler notamment des zébus, mais parfois pour prendre tout ce qu’ils peuvent emporter dans le même temps. Les attaques de ce genre étaient moins fréquentes au cours des derniers mois, mais la situation empire de nouveau actuellement. Des milliers de personnes sont en fuite dans le district d’Amboasary pour fuir l’attaque des dahalo. Depuis toujours, le vol de zébus est un phénomène impossible à résorber totalement dans la Grande Ile. Mais le coup d’Etat de 2009 et la crise politique, ayant engendré une crise économique à travers le pays, avait aggravé la situation. Depuis quelques années, ce sont des bandes armées, souvent composées d’une centaine d’hommes munis de kalachnikov, qui s’en prennent aux villages. Le sud de Madagascar est particulièrement riche en cheptel bovin. Raison pour laquelle cette partie de l’île est celle qui est la plus touchée par le phénomène dahalo. D’autant que la population pratique essentiellement un élevage contemplatif. La reprise des attaques des bandes armées risque en tous cas de donner du fil à retordre aux nouveaux dirigeants du pays. Le président de la République, Hery Rajaonarimampianina, investi en fin janvier, et son Premier ministre, Kolo Roger, qui vient de former son gouvernement, ne s’attendaient point à être confrontés à ce problème épineux en si peu de temps passé à la direction du pays. Lire la suite »
The issue of restitution of the Eparses Isles
The SECES (Union of Superior Education Professors-Searchers and Professors-Teachers) together with the SYNCORMAE (Union of Foreign Office Ministry's Bodies) has raised the issue of the still disputed four Malagasy islands Glorieuses, Juan do Nova, Europa and Bassas da India anew, as a way to let it be clear that Malagasy scholars have in no way forgotten about this unfinished business. The conference took place at the Foreign Office's facilities' conference hall. Lire la suite »
La rétrocession des îles éparses en question
Les questions concernant les îles malgaches Glorieuses, Juan de Nova, Europa et Bassas da India ont fait l’objet d’une conférence débat organisée par le SECES (Syndicat des enseignants chercheurs et chercheurs enseignants de l’enseignement supérieur) et le SYNCORMAE (Syndicat des corps du Ministère des affaires étrangères). Ce fut une manière pour eux de faire comprendre que les intellectuels malgaches commencent de nouveau à s’intéresser à ce vieux débat. D’autant que la conférence s’est tenue à la salle de conférence du ministère des Affaires étrangères. Lire la suite »
Religious tourism to Soatanana
The village of Soatanana, in the region of Fianarantsoa, has long been famed by its Christian religious activity, although the area in itself does not lack of wonderful landscape. Soatanana is located some 25 miles in the west of Fianarantsoa city, in central southern region of the Great Isle. The village has been hosting for decades the “Fifohazana” movement, namely the “Awakening” of Christianity. Lire la suite »
Tourisme « cultuel » à Soatanàna
Le village de Soatanàna, dans la région de Fianarantsoa, suscite de plus en plus d'intérêt pour ses convictions chrétiennes. C'est un site qui ne manque pas d'aspect visuel, avec la qualité de son paysage. Soatanàna est localisé à une quarantaine de kilomètres à l'ouest de la ville de Fianarantsoa, au centre-sud de la Grande Ile. Le village est très connu pour le mouvement «Fifohazana» ou le «Réveil» du christianisme. Lire la suite »
France keeping most severe towards Nosy Be, but the sector of tourism has the will to survive
Nosy Be is generally not used to low seasons all over the year. But with its 10% low booking rate, inn keepers and hotels reach an unprecedented record low. Tour operators and those of their kind appear apprehensive, regarding the French foreign office's led categorization of the tourism oriented island of the north of Madagascar as "orange", do understand a potentially risky destination. Considering that such an assessment clearly scares tourists and tour operators off and significantly undermines the sector of tourism, they keep straining to give evidence of how much positively the situation has been evolving ever since, and that past security issues are now history on the island. Lire la suite »
La France n’en finit pas de punir Nosy-Be, le secteur du tourisme veut survivre
10% pour le taux d’occupation, à Nosy-Be il n’y a pas véritablement de basse saison, mais là, il n’y a plus tout simplement de saison pour les hôteliers. Les opérateurs regrettent que le ministère des Affaires Etrangères français qualifie encore l’île touristique dans le nord-est de Madagascar de destination à risque, classée orange. Ils assurent que la situation a nettement évolué et qu’il n’y a pas de problème de sécurité justifiant une telle mise en garde qui refroidit les tours operators et les touristes eux-mêmes. Lire la suite »