L’Union Africaine, dans le même temps, a lancé un sérieux avertissement aux éventuels fauteurs de troubles. Un message clair aux candidats qui venaient d’être exclus, dont l’ancienne première dame Lalao Ravalomanana. Pour le moment, la position des partis politiques qui ont exigé un climat d’apaisement et une réconciliation avant les élections n’est pas clairement exprimée. La seule certitude est que les élections de cette année seront loin d’être « acceptées par tous » comme préconisé depuis le début de la médiation sur la crise politique malgache.