Ce qui est sûr est que le chef de la Transition s’est fait un peu plus d’ennemis, à un moment pourtant où il est sous pression. La Communauté internationale exige toujours le retrait de sa candidature à la future élection présidentielle, tandis qu’au niveau national, de plus en plus d’entités politiques réclament sa démission. Une démission qui devait intervenir 60 jours avant la date du scrutin. Pour le moment, la seule date officielle connue de l’élection présidentielle est le 24 juillet. Le gouvernement a admis le principe d’un report mais la Commission électorale nationale indépendante n’a pas encore publié un nouveau calendrier électoral.