Prime minister Monja Roindefo has been officially dismissed by the Transition's president Andry Rajoelina. However, he is refusing to leave Mahazoarivo, and trying to win some time by holding on to his seat. Following his resort to the law, security has been enhanced around the Prime minister's office. Lire la suite »

Le premier ministre Monja Roindefo a été officiellement démis de ses fonctions par le président de la Transition Andry Rajoelina. Il refuse cependant de quitter Mahazoarivo, tentant de gagner du temps en s’accrochant à son « fauteuil ». Au recours juridique s’ajoute le renforcement de la sécurité autour du bureau du premier ministre. Lire la suite »

Since the beginning of the weekend, the relationship between Andry Rajoelina and Monja Roindefo has become more than tense. The Prime minister appointed by Rajoelina in February is on the brink of turning into his main political adversary. Lire la suite »

Depuis la fin de semaine, la relation entre Andry Rajoelina et Monja Roindefo est devenue plus que conflictuelle. Le Premier ministre que Rajoelina a nommé en février est en passe de devenir son principal adversaire politique. Lire la suite »

The projected meeting between the four political mobility leaders, initially announced by public press, has finally been cancelled. Lire la suite »

Le projet de rencontre entre les quatre chefs de file des mouvances politiques initialement annoncée par les médias publics a été finalement annulé. Lire la suite »

Even before the signature of the agreed deal at the Carlton hotel in Antananarivo between the four mobilities, Andry Rajoelina became the Transition's de facto president. Constrained by the run of events and facing up to the threat of an "insurgent government", he moved on with the appointment of the government's new chief originated from a consensus, Eugene Mangalaza. Lire la suite »

Avant même la signature des accords convenus au Carlton à Antananarivo entre les quatre mouvances, Andry Rajoelina est devenu de fait le président de la transition. Contraint par la précipitation des événements et face à la menace d’un gouvernement « insurrectionnel », il a procédé à la nomination du nouveau chef de gouvernement issu d’un consensus, Eugène Mangalaza. Lire la suite »