The year 2010’s university management is very poor, blame an embarrassing increasingly poor ministry. The Higher Education ministry is lurking behind the complicated implementation of various reforms. Professors, students and staff members are on the brink of revolt in face of this financial crisis in Antananarivo’s university. Lire la suite »

Les universités sont très mal gérées en 2010, la faute à un ministère dépassé par un problème financier difficilement avouable. Le ministre de l’Enseignement supérieur avance comme arguments différentes réformes dont la mise en place crée pas mal de perturbation. Enseignants, étudiants et personnels administratifs sont dépités par cette crise financière à l’université d’Antananarivo. Lire la suite »

The Chinese network recently publicly alleged by the SAMIFIN’s top official (local office in charge of the fight against money laundering) is relieving Rhodes oil plant issue related pressure on the still unnamed transitional leadership for a short while. The authorities’ failure to act is dubious since the regional actors’ names are no secret any more. The SAMIFIN already reaches its limits. Lire la suite »

La piste chinoise dévoilée publiquement par le Directeur général de SAMIFIN, le service de la lutte contre le blanchiment d’argent, détourne l’attention un temps fixée sur des hauts responsables de la transition, souvent cités sans être nommés dans le dossier bois de rose. La passivité des autorités soulève des questions car les acteurs locaux de ce trafic sont connus. Le SAMIFIN montre déjà ses limites dans sa mission. Lire la suite »

The Telecommunication minister’s resignation closely followed by his dismissal definitely shook not only the Vital government but equally the mobile phone investment sector. For being realistic and not political enough, the young Iharizaka Rahaingoson got the red card in the case Madamobil. Some business companies’ influence on the HAT is actually as obvious as an army standing at a city’s gates. Lire la suite »

La démission suivie de limogeage du ministre des Télécommunications a jeté le trouble au seine du gouvernement Vital mais surtout dans le secteur des télécom et de la téléphonie mobile en particulier. Trop droit, pas assez politique, le jeune Iharizaka Rahaingoson a payé son objectivité dans le traitement du dossier Madamobil. L’influence de certains opérateurs sur la HAT ne peut plus être cachée comme une armée aux portes de la ville. Lire la suite »