Le Syndicat estime notamment qu’en ce moment de précampagne électorale, tous les citoyens ont droit à des informations équitables. « Actuellement, seuls les candidats proches du régime ont accès aux médias » a affirmé Lalatiana Rakotondrazafy, Secrétaire Générale du syndicat, et elle-même propriétaire de la radio Free FM fermée par le régime en 2012. Le président du syndicat, Rocco Rasoanaivo, lui, a réitéré que si le ministre de la Communication, Rolly Mercia, n’est pas en mesure de défendre la liberté de la presse, il serait mieux pour lui de démissionner. « Nous continuons à réclamer son départ » a rappelé le président du syndicat.