L’organisation de lutte contre la pollution causée par le pétrole en haute mer, connue sous le nom de Olep, a rencontré les 25, 26 et 27 Octobre sous le patronage du Ministère de l´Environnement, des Eaux et Forêts, un succès énorme en remplissant la Grande Salle de la Région Mitsinjo et en attirant beaucoup de gens pendant la démonstration de plein air au Port de Toliara et à l´occasion des journées porte ouverte à l´Hôtel « Le Palétuvier ». Les événements ont donné la grande satisfaction aux visiteurs ordinaires, étudiants en sciences marine, professionnels de la biodiversité et fonctionnaires du gouvernement.
Un visiteur de l´évènement admet y avoir appris une bonne chose sur le pétrole et les huiles combustibles avalé par la mer, entre autres que les produits chimiques sont tout aussi répandus en mer dans le monde entier, ou qu´à seulement approximativement 400 kilomètres loin au large l’environnement est frappé gravement. La flore marine, y compris les mangroves qui logent des oeufs du poisson, est frappée mal par la pollution maritime. En clair, c’est l’écosystème entier qui souffre, et le besoin d´assistance est plus que jamais une question urgente.
700 millions de tonnes de pétrole brut traversent les eaux des îles de l’Océan Indien à bord d´immenses pétroliers (dont 350 millions de tonnes dans le Canal de Mozambique). Ce nombre laisse aisément imaginer le taux de renversement de produits pétrolier à chaque opération de chargement et de déchargement, sans compter les dégâts des collisions entre pétroliers. Le Sud de Madagascar est souvent victime de bateaux échoués contenant des produits chimiques bien plus dangereux que du pétrole, et contrairement à lui, demeurant invisibles à la surface de la mer. Poissons et algues absorbent aisément ces produits et les conséquences sont incommensurables.