Ramerison Auguste: la conférence nationale a pondu quelquechose de totatement hors sujet

 
Comme Ramerison Auguste, représentant de Toamasina Raiamandreny Mijoro, ville Toamasina est revenu à Toamasina après avoir assisté à la conférence nationale, il a invité des journalistes, y compris ceux de MADONLINE, à une conférence de presse le 20 septembre pour rapporter les derniers événements nationaux. Il a précisé en priorité ceci: « les résolutions adoptées par la conférence nationale sont sorties de nulle part. Il n’y avait aucune continuation entre les idées du Dinika Sambatra et les résolutions de la conférence nationale. Les représentants de districts prêts à présenter les propositions du Dinika Sambatra n’ont pas eu l’occasion de le faire. Les Dinika Sambatra sont par conséquent plus légaux qu’a produit cette chose nationale. 13,303 personnes ont débattus et proposé lors du Dinika Sambatra, alors que simplement 4000 ont produit unilatéralement quelquechose d’étranger nommé résolution nationale. » Il semble donc que les propositions du Dinika Sambatra qui contiennent les aspirations de la base aient été ignoré entièrement, au profit de quelque chose préparé dans les coulisses. 
À propos de la proposition de loi 
Dans qualité de membre de la commission concernée, Ramerison Auguste a procuré des explications à propos des événements en rapport avec le processus: il n’y avait pas une ombre de progrès pendant deux jours de longs débats, notamment parce qu’il y a eu 138 auxquelles réponder. A la fin, beaucoup d’entre elles ont été résumées et assignées à chaque participants. Trois questions majeures ont été éclairées: un État Centralisé, un État Fédéral, et un État Décentralisé. Les régions autonomes, régions et communautés sont composantes d’un état décentralisé. L’option numéro un a obtenu 32 votes, la numéro deux, 117 votes, et le numéro trois 443. Mais quand le dernier verdict est tombé, le vainqueur était le Régime Fédéral!  » 
 
« une autre crise est en chemin » conclut il 
Ramerison Auguste a insisté sur ce point ci: « cette chose nationale était tout sauf une solution à la crise actuelle, tout au plus un autre facteur pour un autre crise potentiellement en chemin ». À propos de l’âge du candidat présidentiel, il a rapporté que: « la proposition de « 35 ans » n’est pas passée avec une majorité claire du tout, je ne sais pas techniquement moi-même si elle a été passé ou pas car le compte a été perdu dans la confusion!  » 
Ses conclusions sont donc les suivantes: « le pays ne retrouvera pas de reconnaissance internationale de cette façon, tout ce qui a été fait aura été fait en vain »