Des représentants diplomatiques français, sud-africains et américains ont assisté à la rencontre. Laquelle fut une occasion pour les trentaines de personnes qui y ont asssisté de débattre sur la question. « Un journal est un moyen de chercher la vérité » a affirmé Zo Rakotoseheno. Ce dernier estime qu’au lieu de porter plainte tout de suite, la personne citée lors de la conférence de presse aurait pu recourir au démenti et au droit de réponse, étant donné que les journaux sont tenus de respecter ce principe.
Lily Razafimbelo, issue de la société civile, a évoqué à son tour que la situation relève d’un problème systémique. « On a tendance à tout accepter » affirme-t-elle. Pour sa part, le président du syndicat Rocco Rasoanaivo, qui est à la fois le Directeur de publication de La Nation, craint que certains journalistes soient plus particulièrement ciblés. Car considérés comme étant des « opposants ».