Five years ago, it was definitely unthinkable because of the constitutional reform banning citizens with dual nationality to become candidates in any presidential election. The constitution itself has been turned upside down in order to pave Rajoelina’s way to the presidency, or at least to grant him an unlimited term in office. In 2013, France is even allowed to put its citizens as candidates forth, even if Paris has not yet revealed its new pawn’s name, now the former one has run out of breath. Lire la suite »

Il y a 5 ans, c’était encore inimaginable, à cause de la réforme constitutionnelle interdisant les citoyens ayant la double nationalité de se porter candidat à l’élection présidentielle. Depuis, l’article a été modifié dans le but de permettre à Andry Rajoelina de rester au pouvoir au même titre que l’abaissement du critère d’âge qui a été un sacrilège sur le plan culturel. En 2013, les candidats français sont plusieurs même si Paris n’a pas encore désigné son poulain après le forfait de son favori. Lire la suite »

Alors qu’il a mis la classe politique dans un nouveau chaos en tentant de modifier l’ordre des élections pour favoriser son parti TGV, Andry Rajoelina subit un véritable examen de passage pour ce qui est de sa mission d’organiser les élections et de laquelle il s’est détourné pendant deux ans, tenté de rester au pouvoir durant et après une longue transition. L’attitude « moramora » du premier ministre agace le chef de la transition qui tente un dernier coup de Poker à l’ONU pour ne pas perdre la face aujourd’hui et le pouvoir demain. Déjà, il met la pression sur le gouvernement pour appeler les électeurs aux urnes le 08 mai 2013 pour élire... les députés. Lire la suite »

Alors qu’il a mis la classe politique dans un nouveau chaos en tentant de modifier l’ordre des élections pour favoriser son parti TGV, Andry Rajoelina subit un véritable examen de passage pour ce qui est de sa mission d’organiser les élections et de laquelle il s’est détourné pendant deux ans, tenté de rester au pouvoir durant et après une longue transition. L’attitude « moramora » du premier ministre agace le chef de la transition qui tente un dernier coup de Poker à l’ONU pour ne pas perdre la face aujourd’hui et le pouvoir demain. Déjà, il met la pression sur le gouvernement pour appeler les électeurs aux urnes le 08 mai 2013 pour élire... les députés. Lire la suite »

Leonardo Simao, the SADC’s leading mediator, of the SDC, recovered Madagascar among others in order to explain the recent conclusions reached by the Troika concerning the crisis settlement process in Madagascar. Andry Rajoelina and his political horde are straining to prevent President Marc Ravalomanana’s come back home before elections for the sake of securing victory. But everything seems to challenge them. Lire la suite »

Le médiateur de la SDC, Leonardo Simao est à Madagascar pour expliquer les récentes décisions de la Troïka sur la résolution de la crise malgache. Tout semble contre Andry Rajoelina et sa mouvance qui tenteront d’empêcher le retour au pays du président Marc Ravalomanana avant les élections pour ne pas faire basculer les résultats. Lire la suite »

The SADC’s envoy finally recovered the Great Isle and took the opportunity to meet with the transitional leader shortly after reaching the local international airport. Leonardo Simao subsequently tackled his series of consultations of the parties involved into the Malagasy crisis settlement and did not reveal anything worthy of attention concerning former president Marc Ravalomanana’s come back to home soil. Lire la suite »

L'émissaire de la SADC est de nouveau dans la Grande Ile. Il a eu l'occasion de rencontrer le président de la Transition quelques temps après son arrivée à l'aéroport. Leonardo Simao a déjà commencé à consulter ainsi les parties prenantes à la crise malgache. Il est resté évasif sur le retour au pays de l'ancien président, Marc Ravalomanana. Lire la suite »

As an outcome of its latest summit, the African Union took notice of the steps forward taken since the signature of the Roadmap back in September 2011 into the settlement of the process, and regretted the failure to capitalize all the terms of the signed Roadmap’s agreements, but did unfortunately not put any viable solution forth. The African Union merely regrets that some of the Roadmaps’ main points are still in expectation of an eluding completion. Part of these points is former president Marc Ravalomanana’s come back home. Another meeting will have to be organized in order to address these issues. The report produced by the African Union’s Peace and Security Council declared what follows: “more commitment to support from the African Union, in accordance with its duty within the context of Architecture for Peace and Security in Africa or APSA, is being considered as highly relevant by the SADC. The ICG-M and the CPS are intending to join into a meeting and address the suitable measures deemed to hasten the conclusion crisis settlement process in Madagascar.” In short, Madagascans will have to wait a little longer again. Lire la suite »

A l'issue de son sommet ordinaire, l'Union Africaine a constaté les progrès effectués par le pays pour sortir de la crise depuis la signature de la Feuille de route en septembre 2011. Elle déplore également les manquements à la concrétisation de toutes les dispositions de la Feuille de route en question, sans pour autant proposer des solutions. L'Union Africaine se contente de déplorer ainsi que "des aspects importants de la Feuille de route restent pendants". Parmi ces aspects, il y a le retour de l'ancien président, Marc Ravalomanana. Une réunion devra donc avoir lieu pour se pencher sur ces manquements. Le rapport du Conseil de paix et de sécurité de l'Union Africaine estime: "il importe que l’UA, conformément aux responsabilités qui sont les siennes, dans le cadre de l’APSA ou Architecture pour la paix et la sécurité en Afrique, intensifie ses efforts et son appui à la Médiation de la SADC. Dans ce contexte, aussi bien le GIC-M et le CPS devraient se réunir et envisager la prise de mesures appropriées pour accélérer la sortie de crise à Madagascar". Ce qui veut dire que les Malgaches doivent encore patienter. Lire la suite »