Le Premier ministre, Omer Beriziky, lui-même, a préféré rester prudent sur le sujet. « On va transmettre un rapport si on ne parvient pas à mettre au point la loi d’amnistie avant l’échéance prévue » a affirmé le chef du gouvernement au terme de la rencontre. La SADC a, rappelons, préconisé l’adoption d’une loi d’amnistie, avant le 29 février, pour permettre à Marc Ravalomanana de revenir à Madagascar. Pour le moment, les partisans de Rajoelina ne veulent rien savoir.