Les rues de la capitale sont de plus en plus en mauvais état. Mais la réaction de la part des autorités communales semblent tardives. Au point qu’en matière d’infrastructure, on peut dire sans hésitation qu’Antananarivo a effectué un grand pas, en arrière. La saison des pluies a aggravé la situation, et devient presque une excuse. Les habitants de la capitale sont conscients que, de toute manière, les résultats ne sont plus une obligation pour quiconque arrive au pouvoir, depuis le début de la Transition dans la Grande Ile.