Le régime de Transition et l’association des victimes prévoient une cérémonie de commémoration de l’affaire du 7 février à Antaninarenina. Une plainte a été déposée contre l’ancien président, Marc Ravalomanana à Madagascar et en Afrique du Sud, mais la réouverture d’une enquête censée être indépendante sur le sujet tarde à se concrétiser. C’est Marc Ravalomanana et la garde présidentielle de l’époque qui a été toujours montrée du doigt par ceux qui ont pris le pouvoir en 2009 comme étant à l’origine de la trentaine de morts devant le palais d’Ambohitsorohitra. C’était le 7 février 2009. L’ancien président a été condamné à Madagascar. Mais il parle de procès politique. Sur la base de nombreux témoignages, le camp de Ravalomanana dénonce la manipulation du président de la Transition, Andry Rajoelina. Le colonel Charles Andrianasoavina a déjà révélé l’existence d’autres tireurs pour faire le maximum de victimes, tandis que le général Raoelina de la garde présidentielle a également spécifié que des tirs en direction du palais ont été authentifiés. Et le débat est loin d’être clos, quatre ans après les faits.
Le régime de Transition et l’association des victimes prévoient une cérémonie de commémoration de l’affaire du 7 février à Antaninarenina. Une plainte a été déposée contre l’ancien président, Marc Ravalomanana à Madagascar et en Afrique du Sud, mais la réouverture d’une enquête censée être indépendante sur le sujet tarde à se concrétiser. C’est Marc Ravalomanana et la garde présidentielle de l’époque qui a été toujours montrée du doigt par ceux qui ont pris le pouvoir en 2009 comme étant à l’origine de la trentaine de morts devant le palais d’Ambohitsorohitra. C’était le 7 février 2009. L’ancien président a été condamné à Madagascar. Mais il parle de procès politique. Sur la base de nombreux témoignages, le camp de Ravalomanana dénonce la manipulation du président de la Transition, Andry Rajoelina. Le colonel Charles Andrianasoavina a déjà révélé l’existence d’autres tireurs pour faire le maximum de victimes, tandis que le général Raoelina de la garde présidentielle a également spécifié que des tirs en direction du palais ont été authentifiés. Et le débat est loin d’être clos, quatre ans après les faits.