Le chef de la Transition, Andry Rajoelina, avait proposé la tenue des élections législatives avant la présidentielle déjà prévue en mai prochain à Madagascar. Il a annoncé son intention de modifier le calendrier électoral, quand il a rendu public, lors d’une déclaration, sa décision de se retirer de la course à la présidentielle. La Communauté internationale est toutefois contre la proposition. Une déclaration de la SADC a réitéré le maintien du calendrier électoral déjà établi. A savoir le premier tour de la présidentielle, le 8 mai et le deuxième tour, jumelé avec les législatives en juillet. La même déclaration a préconisé également une mesure d’amnistie pour Marc Ravalomanana et pour Andry Rajoelina, les deux protagonistes de la crise malgache, qui ont accepté de se retirer de la course à la magistrature suprême.
Le chef de la Transition, Andry Rajoelina, avait proposé la tenue des élections législatives avant la présidentielle déjà prévue en mai prochain à Madagascar. Il a annoncé son intention de modifier le calendrier électoral, quand il a rendu public, lors d'une déclaration, sa décision de se retirer de la course à la présidentielle. La Communauté internationale est toutefois contre la proposition. Une déclaration de la SADC a réitéré le maintien du calendrier électoral déjà établi. A savoir le premier tour de la présidentielle, le 8 mai et le deuxième tour, jumelé avec les législatives en juillet. La même déclaration a préconisé également une mesure d'amnistie pour Marc Ravalomanana et pour Andry Rajoelina, les deux protagonistes de la crise malgache, qui ont accepté de se retirer de la course à la magistrature suprême.