Les chefs politiques signataires des accords de Maputo sont invités à une rencontre à Addis-Abeba du 8 au 10 mars, mais les partisans du président de la HAT ne cessent tous les jours de le convaincre de ne pas assister à la réunion. Il est pourtant fort probable que le rendez-vous soit annulé si l’un des quatre chefs de file, signataires des accords de Maputo ne confirme pas sa présence. La Commission de l’Union Africaine a pris l’initiative de la rencontre, dans le but ultime de relancer la mise en oeuvre des accords signés. De nouvelles sanctions internationales sont prévues à compter du 17 mars si la situation n’évolue pas. Andry Rajoelina semble s’en tenir à l’atelier national qu’il a convoqué les 4 et 5 mars pour trouver une solution à la crise politique. Une réunion pourtant boycottée par ses adversaires politiques.
Les chefs politiques signataires des accords de Maputo sont invités à une rencontre à Addis-Abeba du 8 au 10 mars, mais les partisans du président de la HAT ne cessent tous les jours de le convaincre de ne pas assister à la réunion. Il est pourtant fort probable que le rendez-vous soit annulé si l'un des quatre chefs de file, signataires des accords de Maputo ne confirme pas sa présence. La Commission de l'Union Africaine a pris l'initiative de la rencontre, dans le but ultime de relancer la mise en oeuvre des accords signés. De nouvelles sanctions internationales sont prévues à compter du 17 mars si la situation n'évolue pas. Andry Rajoelina semble s'en tenir à l'atelier national qu'il a convoqué les 4 et 5 mars pour trouver une solution à la crise politique. Une réunion pourtant boycottée par ses adversaires politiques.