En outre, la mouvance Ravalomanana continue d’exiger la mise en application effective de la Feuille de route de sortie de crise qui préconise notamment, en son article 20, le retour au pays de tous les exilés politiques dont Marc Ravalomanana lui-même, exilé en Afrique du Sud depuis le coup d’Etat de 2009. Les leaders de la mouvance ont également critiqué le non respect des libertés fondamentales par le régime de transition dont la liberté de la presse, la liberté d’opinion et la liberté d’expression.