Au cours des derniers temps, ils ont noté que les retards sont de plus en plus récurrents, alors qu’ils sont convaincus que la poste malagasy dispose du budget nécessaire pour le règlement de leur solde. Certains employés craignent que les liquidités soient utilisées par les autorités à d’autres fins. Car, depuis des décennies, l’Etat avait l’habitude de puiser des liquidités dans les entités étatiques qui en disposaient, comme la société nationale d’eau et d’électricité, Jirama, ou encore la caisse nationale de prévoyance sociale.