mardi , 23 avril 2024
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Regards

Intérêts économiques : quand le pétrole justifie un coup d’Etat

Marc Ravalomanana réitère que le vrai motif de ce qu’il qualifie de coup d’Etat est l’intérêt de certains pays étrangers sur les richesses minières de Madagascar, en particulier une réserve pétrolière à fort potentiel. La France figure parmi les puissances économiques qui lorgnent sur les gisements de la grande île. Lire la suite »

Sanctions internationales : la HAT stoïque et un brin provocatrice

Les autorités de fait semblent hésiter entre affronter des sanctions internationales recommandées par l’Union Africaine et appliquer la charte et les accords politiques signés à Maputo et Addis Abeba non sans quelques aménagements. L’effort de donner à des initiatives unilatérales un esprit de consensus n’a pas suffi. Les sanctions risquent de provoquer une nouvelle crise dans la crise. Lire la suite »

« Référendum présidentiel » : la grande tentation des TGV

Et si l’élection présidentielle était devenue un référendum qui poserait la question aux citoyens s’ils acceptent ou non Andry Rajoelina comme chef de l’Etat. Cela reviendrait à rallonger la transition en un vrai petit mandat dont la durée reste encore à fixer. Cette option complètement « unilatéraliste » est évoquée dans les rangs du jeune parti TGV soucieux de préparer dans de meilleures conditions la quatrième République. Lire la suite »

Un atelier national qui devient un rassemblement de zélateurs

La Haute Autorité de la Transition navigue à vue. Malgré la réticence de ses principaux opposants, Andry Rajoelina a choisi d'avancer. Et risque d'aller droit au mur. Car la réunion qu'il a qualifiée d'atelier national est en passe de devenir une simple réunion de zélateurs qui vont le pousser à commettre davantage d'erreur d'appréciation. Lire la suite »

Vital, la fin du gouvernement de la désunion nationale ?

A quelques jours de la réunion du Groupe international de contact sur la crise malgache, les autorités de fait ont tenté de proposer une énième stratégie de sortie de crise à Maputo. L’opération est un camouflet et le gouvernement Vital a été rejeté. Camille Vital devait faire un seul compte rendu et c’est à Andry Rajoelina. Lire la suite »

FIS : la police politique de la HAT abonnée aux faits divers

Les interventions très spéciales que ce soit avant ou après sa création officielle ne plaident pas toujours en faveur de la force spéciale au service de la HAT. Les éléments des anciens commandants mutins aujourd’hui devenus des proches collaborateurs du chef des autorités de la transition seraient incontrôlables, sollicités sans le consentement de leurs chefs. Lire la suite »

De la volonté de sortir de la crise: Plus de questions que de réponses

La crise politique finira un jour. C'est ce que les plus optimistes des Malgaches disent souvent. Au bout d'un an de bras de fer, beaucoup se demandent si les acteurs politiques ont réellement la volonté de mettre un terme au conflit. Lire la suite »

Pour avoir le soutien de ses pairs, Andry Rajoelina vient voir un président en fin de mandat de l’Union Africaine

Au cours de son périple surprise à l'étranger, le président de la HAT aurait l'intention de se rendre en Libye, pour rencontrer Mouammar Khaddafi, président de l'Union Africaine mais dont le mandat est à son terme. Lire la suite »

Crise 2009 : le dessous politique du lundi noir

Pourquoi le président Ravalomanana a-t-il laissé faire ? La question est toujours sans réponse. Les événements du 26 janvier 2009 avaient fait basculer la balance en faveur de Andry Rajoelina sans que ce dernier n’ait été inquiété pour ses responsabilités dans la dérive de son mouvement populaire. La préméditation d’un coup d’Etat était pourtant constatée par le pouvoir. Lire la suite »