Il ne s’agit pas du premier atelier de concertation sur la vanille à Madagascar. Des réflexions sont nécessaires devant les difficultés que connaissent les opérateurs économiques. Selon Les Nouvelles, en effet, « si la vanille représentait 26,6 % des recettes d’exportation en 2002, en 2003, elle n’en constituait plus que 21,7 % ». Evoquant la tenue de l’atelier sur la vanille l’auteur de l’article écrit : « les quatre commissions qui se sont succédées pour présenter leurs différentes propositions, n’ont pas apporté de véritables solutions pour faire face à la mévente actuelle alors que la campagne de vanille vrac débutera le mois prochain ». L’Express parle, de sa part, de « huée sur l’or vert » et de « l’improbable relance de la vanille ». L’Express affirme que étant donné que « son prix reste bas sur le marché mondial », il est fort probable que « la vanille n’est pas prête de sorti de l’auberge ».
Un atelier national de la vanille s'est tenu dans la capitale pour étudier les difficultés de cette filière économique.