C’est l’attaque de la radio, en fin de semaine, quand des militaires de la Haute Autorité de la Transition ont arrêté des membres de l’opposition, qui est à l’origine de l’interruption des émissions de Fréquence Plus. Les matériels ont été saccagés, et trois employés agressés sans raisons valables.
La violence perpétrée contre les employés de Fréquence Plus a suscité de nombreuses réactions et surtout, des condamnations quasi unanimes dans le milieu médiatique, politique et diplomatique.